Neko of Legende
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Incarenez un hybride soumis ou rebel, un maitre gentil ou cruel. A vous de decidez qui vous serez dans cette magnifique aventure qui est la votre !
 
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 Carnet de notes de Dorian Jaakuna.

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AuteurMessage
Dorian Jaakuna
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Dorian Jaakuna


Messages : 22
Date d'inscription : 01/02/2011
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MessageSujet: Carnet de notes de Dorian Jaakuna.   Carnet de notes de Dorian Jaakuna. EmptyDim 6 Fév - 12:03

12 fev 3007 à 13h20:
Des hommes en blouse blanche sont rentrés dans la maison, ce matin. Sur le moment je n'ai pas compris ce qu'il voulaient, mais quand ils l'ont dit à ma mère, elle s'est mise à pleurer. moi j'étais trop loin pour les entendre. Ensuite, ils m'ont vus, et l'un d'eux a sorti une seringue, il a dit que j'étais dangereux, que moi, du haut de mes 12ans, j'étais dangereux. J'ai couru pour leur échapper, en essayant d'atteindre le toit par la lucarne de ma chambre, mais ils m'ont attrapés et m'ont emmenés dans leur fourgon. A l'arrière du fourgon, il y avait une femme aux cheveux courts et noirs, elle a essayé de me rassurer, mais comme je ne me tenait pas tranquille, elle m'a attaché. J'ai vu mon reflet sur la paroi du fourgon: mes yeux étaient brillants, et j'avais envie de mordre la fille jusqu'au sang. Ils m'ont emmenés dans un hôpital bizarre, et m'ont attachés avec des lanières à un lit. Un peu plus tard dans la journée, un homme aux cheveux blonds coupés courts est venu me voir. Il m'a dit que j'étais anormal, et m'a parlait comme si je n'avait que 6 ans. J'avais envie de le mordre, de lui déchirer la peau, comme la voisine qui venait, en juin, avant que je ne la tue. Je lui ai dit, à l'homme, que je voulait le tuer. Il a sorti une seringue et m'a prélevé du sang. Ensuite, il m'a endormi. Je me suis réveillé quelques heures plus tard, toujours attaché. On me prend pour un fou, je le sais, maintenant. Je suis dans un hôpital psychiatrique. Les infirmières me disent que c'est mal, de tuer les gens, qu'il faut les respecter. Ils ont voulus que je mange, mais il n'y avait pas de viande, dans leurs plats. J'ai donné un coup de pied au plateau, étalant son contenu sur le sol. Je n'avait plus confiance en personne, je savais qu'il y avait du somnifère mélangé à la nourriture. Un pédopsychiatre est venue me poser des questions, j'ai refusé de répondre et lui ai dit d'aller se faire foutre. Quand il est parti, il a laissé ce carnet. Je vais écrire, pour ne pas devenir fou.


14 fev 3007 à 19h40
Hier, une des infirmières m'a détaché, elle pensait qu'elle avait réussit à m'amadouer, que j'étais sous son charme. Les femmes sont toutes les mêmes. je l'ai mordu jusqu'au sang, puis j'ai planté mes doigts dans la plaie que je lui avait faite et j'ai gratté avec mes ongles pour qu'elle ai encore plus mal. c'était pourtant logique: on me déçois, je punie. Elle a souffert pendant un bon moment puis je lui ai brisé le cou. Je me suis abreuvé de son sang, puis je me suis assit à côté de son cadavre, mon envie de meurtre ayant disparu. le sang qui restait formait une petite flaque rouge, qui grossissait peu à peu. J'y ai trempé un doigt et j'ai dessiné des personnages avec le sang, J'ai écrit quelques mots, ça rendais bien. Mais le médecin, qui voulait me faire un bilan de santé, est entré, et il a hurlé en voyant mon oeuvre. il m'a attrapé par les cotes et m'a plaqué contre le mur en répétant "Qu'est-ce que tu as fait?! Qu'est-ce que tu as fait?!" Il m'énervait, la réponse était pourtant évidente! "Je l'ai tué, quelle question!" je lui ai répondu, calmement. Il a réagit bizarrement, il a sorti une seringue et me l'a planté de toutes ses forces dans le bras, je me suis endormi, une nouvelle fois. Quand je me suis réveillé, j'étais dans une pièce sombre et toute petite, recroquevillé, et complètement nu. Je savais que c'est une peine qu'on infligeais au fous, et qu'on ne pouvait pas ouvrir la porte de l'intérieur. alors j'ai attendu, longtemps. J'ai compris que si je voulais sortir de cet hôpital psychiatrique, il fallait que je fasse profil bas. ça n'allait pas être facile, parce qu'il seraient trop heureux de m'avoir "guéri" mais il le fallait.

28 mai 3007 aux alentours de 17h00
Voilà plusieurs mois que je me comporte comme un enfant normal, j'ai cessé de tuer les gens, et je répond aux questions. Les médecins ont l'air favorable à me laisser partir. D'ailleurs ils ont tout intérêt parce que ma mère va bientôt avoir 40 ans, et que dans ma famille, tout le monde meurt à cet âge là. Il parait que c'est congénital. Mais je ne suis pas triste parce que c'est normal, de mourir, on naît, on vit, et enfin, on meurt. c'est logique. Ma mère n'a jamais compris mon état d'esprit. C'est normal, après tout, ce n'est qu'une femme, et les femmes son toutes sensibles. à l'école, par exemple, elles pleuraient tout le temps, alors j'avais encore plus envie de les mordre, et ça, elle ne comprennent pas. Je déteste voir les gens pleurer, ça montre leurs faiblesses, c'est insupportable, ça me donne envie de leur briser la nuque, de les faire taire, enfin.

4 avril 3007 à 10h00
Je suis libre! aujourd'hui, le pédopsychiatre m'a posé des questions, j'ai répondu selon LEUR logique, et ai été déclaré capable. On m'a ramené à la maison, où j'ai pu voir ma mère pour ses dernières heures. Ensuite, mon oncle Todd m'a emmené chez lui, en campagne, où je vais vivre pendant un petit moment. Oncle Todd est très gentil avec moi, il n'en a plus pour longtemps à vivre, et il n'a pas de descendance. Il est l'un des rare membres de ma famille encore vivant, car le taux de décès est supérieur au taux de natalité. Je ne vais pas le tuer, ce serais stupide. Du moins, pas tout de suite.

30 janvier 3007 à 18h24
Mon oncle Todd m'a dit quelque chose qui m'a vraiment surpris: il m'a dit que je ne mourrais pas à mes 40 ans comme le reste de ma famille. Je pense que c'est dû à ma maladie. Il parait que tout le monde le savait mais qu'on me l'a caché durant tout ce temps. Je ne comprend pas comment ils ont pu le savoir, mais je pense que c'est mon oncle Ernest, qui est compte et scientifique renommé, qui a analysé mon sang. C'est décidé, je débuterais des études scientifique, pour essayer de comprendre ma maladie.

27 avril 3007 à 13h45
Cela fait prés d'un an que je n'ai pas bu une seule goutte de sang humain, depuis mon séjour à l'hôpital psychiatrique, j'ai appris à me retenir, ce qui n'est pas une tâche facile: ma maladie brusque les effluves meurtrières, et pour résister, je me contraint à me faire mal. Sur mon avant bras, des marques de dents et de lames de rasoir son tracées jusqu'au coude, à l'intérieur du bras, là où la peau est la plus fine et tendre. Je sais que je ne tiendrais pas longtemps: tôt ou tard, il me faudra récupérer du sang humain, pur, et ô combien enivrant...

12 mai 3007 à 23h18
C'est arrivé, j'ai craqué: la jeune voisine, une pimbêche qui se croit irrésistible, est passé très prés de moi, me frôlant délibérément. En temps normal, je n'aurais pas réagit, mais comme si ça ne lui suffisait pas, elle s'est retournée en agitant son horrible chevelure blonde et ma fait de l'oeil. Je me suis pincé le bras jusqu'à ce que la peau se perce, laissant échapper quelques gouttes de sang. Voyant que son cinéma n'avait eu aucun effet, elle s'est avancée vers moi en me regardant droit dans les yeux. Là, je n'ai pas tenu: j'avais tellement envie de l'abattre! Je l'ai plaquée contre le sol, et l'ai frappée d'une main, la baillonnant avec l'autre. Puis je l'ai envoyée contre le mur d'une grange, lui cognant la tête à plusieurs reprises. Sa lèvre a éclaté, éclaboussant le mur. Puis sa joue, griffée par la pierre brut du mur de la grange, à saignée aussi. J'ai attrapé la fille par les cheveux, et j'ai tiré d'un coup sec vers le bas, lui infligeant une torsion assez bruyante. Ses pupilles ont roulées vers moi une dernière fois, puis elle est morte. Elle n'avait pas eu le temps de crier. Lorsque j'ai retiré ma main de devant sa bouche, un filet de salive et de sang en est sorti. Je me suis essuyé le poignet contre son tee-shirt, puis j'ai mordu son cou, pour goutter son sang. Mais à peine y eus-je trempé la langue que je me suis écarté très vivement d'elle: son sang était imbuvable. C'est la première fois que le sang me dégoûtait autant. Je me demandait ce qui clochait, peut être qu'il était infecté? J'ai tiré le cadavre hors de vue et j'ai été chercher une seringue et un tube à essai dans l'armoire à pharmacie de mon oncle. J'ai prélevé du sang à ma victime, que j'ai mit dans le tube à essai. Comme ça, plus tard, je pourrais l'analyser et voir ce qui ne va pas.

13 mai 3007 à 18h01
Oncle Todd à découvert le cadavre de la voisine. C'est vrai qu'absorbé par le goût repoussant de son sang, je n'avait pas pensé à l'enterrer. Mon oncle ne m'a pas puni, il sait que c'est inutile. Au contraire, il m'a aidé à l'enterrer. Ensuite, il m'a dit qu'il fallait que j'arrête de tuer les gens, car pour mes études, viendrait un moment où je devrais aller à l'université, et à l'université, il y a beaucoup de monde. Je sais qu'on m'expulserait si je commettait des meurtres. Il fallait que je résiste. Je me suis mis en tête d'essayer d'arrêter de tuer les gens. Je me demande combien de temps je tiendrais.

12 sept 3012
Je suis enfin arrivé à l'université. Pour m'efforcer de résister au meurtres, je me suis fait une sorte de silice, en m'inspirant des méthodes de l'opus Dei. Dés que je ressent une envie de tuer, je plie la jambe droite et les pointes de la silice me rentrent dans la jambe. Cette mortification gratuite me laisse de grosses traces, et j'ai tout intérêts à la cacher: on me prendrait pour un religieux. J'ai pris l'habitude de recouvrir ma silice avec des bandages, comme ça, on ne me pause pas de questions lorsque je me déshabille, le soir, ou pour aller en sport, et le sang ne transperce pas mon pantalon.

15 oct 3012
Ma classe est composée d'une bande d'imbéciles. Je n'ai pas été en contact avec d'autres enfants depuis la fin de la primaire (On m'en avais retiré très tôt à cause d'un petit accident...) mais dans mes souvenirs, les élèves étaient plus calmes. Sans doute avaient ils peur de moi... Ma silice m'a laissée des marques inéfaçables sur la jambe, mais je ne peux pas l'enlever. La pression commence à monter, je crois que je vais avoir des difficultés supplémentaires. Surtout qu'Orokana, l'une des pire stupidités que le monde ai connu, essait de m'approcher. Elle est un danger potentiel, surtout avec ces regards qu'elle me lance. C'est une chance que j'ai cette silice. Sinon, elle serait déjà morte.

30 oct 3012
Je n'en peux plus, je vais craquer, c'est sûr! Les élèves de ma classe commencent à s'interesser à qui je suis. Ils ne sauront jamais la vérité, j'y veillerais personnellement. C'est bientôt la fin du cicle, à l'université. Il faut que je résiste jusqu'au dernier jour.
Cette silice me fait trop souffrir.... je vais devoir la retirer, où je risque de perdre ma jambe. Les pics de fer ont bien pénétrés dans ma chair, et les en retirer va être une épreuve.
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